Tout commence par un crie, des larmes de joie et d'autre de tristesse. Larme de joie pour les derniers instant d'une mère avec son enfant... Larme de tristesse, d'un père qui ne reverra plus jamais sa femme en vie. Triste me direz vous ? Et bien mon histoire, elle commence comme ça, et la fin n'est pas forcement mieux... Le 15 novembre 1993, je suis donc née, dans ces circonstance tragique. Et me père, ne voulant pas de moi, m'envoya dans une famille d'accueil, des amis à eux. Des amis sorciers qu'il connaissait bien. Bien entendue, je n'ai jamais rien su de cela avant mes quatorze ans. Mais c'est sorciers était des crèmes, les Laurens, bien que celle que je considère comme ma mère soit un peu trop protectrice. Et puis mes parents été des sorciers, donc j'en étais une aussi. Enfin bref, quelques jours après mon arrivée chez eux alors que je n'avais pas encore un mois, mon père se suicida, ne voyant pas comment vivre sans sa femme... C'est alors que commence l'enfance, une période plutôt difficile pour moi, du a une mauvaise intégration dans le monde normale dans lequel on a essayer de me faire vivre. Ils ont donc abandonné et ont commencé à m'apprendre la magie. J'étais devenue épanouie et heureuse. Une petite fille de rêve. Ah ah ah... Pas pour longtemps !
L'adolescence, une période sympathique et une entré dans le monde des grand ! Salem Academy ! Mais aussi une acception et de la fierté venant de mes parents. J'étais joyeuse, heureuse, épanouie et très attentive en cours, comme à mon habitude. Mais j'avais un défaut, les garçons. Moi qui fut à moitié coupé du monde de la magie, je n'en avais jamais recontré avant. Mes amis trouvèrent ça bizarre que je m'informe à ce point sur eux, je faisais des sondages, je lisais des livres. Pour moi ils devinrent une obsession. Mon défaut ? J'ai souvent des obsessions diverses et varié. Après les garçons, j'ai eu les timbres moldus, puis les arbres et les fleurs. La nature me passionnait de plus en plus. J'étais comme transporté dans un autre univers, et je devins vite seule parmi les autres. Ma gaieté devint timidité, et mon sens de l'humour, un froid glacial. Je ne parlais plus à personne. Juste au plante. Je suivais mes cours. Je mangeais. Mais je ne faisais rien de plus en leur compagnie. Ma mère m'offrit alors un faucon, et je voulu en savoir plus sur eux, sur leur langue, ce dialecte si difficile à comprendre. Et si moi je commençais à comprendre, Natan mon faucon, faisait de même. Pour moi cela relevais du miracle. On se comprenait de plus en plus au fil des jours. Aujourd'hui, je suis seule. Encore et encore. Juste moi et Natan.