Des excuses si plates pour autant de douleur [Hay' =D]

La journée s'annoçait plutôt bien. Il avait passé la matinée avec Mélia puis dû la libéré pour qu'elle puisse assisté a son cour et lui au sien. Pour l'après-midi ... Il n'avait rien a l'horaire. Il avait une heure battante après le dîné puis il avait décidé d'abandonné le cours d'étude des Moldus. C'est complètement stupide. Comment peut-on ne pas savoir se servir d'un grille-pain ou d'un téléhpone ? Naturellement, lui avait grandi avec les moldu et leurs objets du quotidien n'avait plus aucun secrets pour lui. Puis le prof est vraiment ... Bizzard. Il parle comme s'il était le meilleur tandis qu'il a mal expliqué le fonctionnement du grille-pain. L'objet le plus préhistorique des moldus.

Il s'était promené dans le château durant tout l'après-midi. Il devait être quatorze heures maintenant. Il était assis dans les marches. Plus personnes ne circulaient de toute manière. Il repensa a cette école. La magie n'avait jamais été quelque chose d'extraordinaire pour lui. S'il n'aurait pas Mély, il aurait surement abandonné cette école. Mais il voulait aussi arrengé les choses avec Hayden avant. C'était important a ses yeux. Après tout c'est lui qu il'Avait fait souffrir, maintenant il se devait d'en finir en bon terme. Mais elle l'évitait ... Elle refusait de lui parlé. Même s'il était perdu dans ses pensées, il perçu les bruit de pas qui s'avançait derrière lui. il se retourna c'était Hayden.

-Hayden ... Justement J'avais besoin de te parlé...

Elle continua son chemin, feignant de ne pas l'avoir entendu ...

-

Hay' .. J't'en pris ...

Maintenant il ne restait plus qu'as espété qu'elle s'arrête et l'écoute deux minute. Après elle seras libre de le giflé si ça lui chante. il avait juste besoin de s'excusé. Chose qu'il n'avait pas fait lorsqu'il avait rompu avec elle. À son souvenir il n'avait pas été très sympathique. Même froid. Mais ce moment avait été une des choses qu'il avait préféré oublier. Pourquoi ? Ce n'es jamais hyper agréable, ça ne l'avait pas été pour lui non plus. Hayden avait été sa première vraie petite amie. Une qu'il aimait vraiment, son premier amour quoi. Mais il ne devait pas être prêt pour une relation sérieuse parce que il avait eu l'impression d'étouffé. Pourtant ce n'était pas le cas. C'est ce pourquoiil avait laiss. Hayden, parce que son trop grand besoin de liberté l'avait emporté sur ses sentiments. Pourtant, bien qu'il ne l'aime plus de la même manière qu'avant, elle avait toujours une place spécial dans son coeur. Mais elle doit le détesté a mort.

- Hay’… J’t’en pris…

Liberté de mes deux !

- Tu m’en pris de quoi, Williamson ?

- Tu m’en pris de quoi, Williamson ?

*C'est que la conversation s'annonce vraiment calme ...*

Pensa Nico ironiquement. Naturellement, il ne pouvait pas se plaindre. Il était pas mal, beaucoup en faite, a l'origine de la haine d'Hayden envers lui. S'il n'avait pas été si ... Stupide, oui c'est approprier, avec elle, peut-ête n'en seraient-ils pas là maintenant.

-

De me pardonné ... Je sais que c'est nul ce que je t'ai fait et que c'est nul de m'excusé un an plus tard. J'ai essayé avant. Mais tu refusais de me parlé ... Je sais que tu me déteste .. et t'as raison de le faire ... Mais j'ai besoin de savoir qu'un jour tu ne m'en voudras plus ...

Ça le torturais depuis maintenant presque deux ans. De savoir que quelqu'un est lui est cher lu en veux il ne peux le supporté. Bien qu'il n'aime plus Hayden comme auparavant, cela ne signifit pas qu'elle a perdu sa place. Elle est toujours importante pour lui.

- Je ne voulais pas que ça se termine ainsi. J'était jeune et con ... Je savais pas comment faire ça ... C'était ma première relation ...Alors j'ai paniqué et laissé tout tombé comme un lâche ... J'en suis conscient.

Il regardait Hay' dans les yeux, les siens. Il savait qu'elle lui en voulait a mort. Il voyait des fois son regard lorsqu'il était avec Mélia. Mais maintenant elle, elle avait Edward. Chacun a continuer son histoire. Mais jamais Nicolas n'oubliras les bon moments passé avec Hayden.

- T’en es conscient ? C’est super Nicolas mais moi, personnellement, je n’en ai rien à battre. Moi aussi c’était ma première relation, moi aussi j’étais jeune et conne. Je le suis encore mais je te laisse en paix alors essaye de faire de même. Que tu es besoin de savoir que je t’en veux pas, ça m’indiffère et tu vas devoir faire avec parce que franchement tu me soule plus qu’autre chose !

- Mais lâche-moi à la fin ! Tu fais vraiment chier !

-T’en es conscient ? C’est super Nicolas mais moi, personnellement, je n’en ai rien à battre. Moi aussi c’était ma première relation, moi aussi j’étais jeune et conne. Je le suis encore mais je te laisse en paix alors essaye de faire de même. Que tu es besoin de savoir que je t’en veux pas, ça m’indiffère et tu vas devoir faire avec parce que franchement tu me soule plus qu’autre chose !

Ça le tuait qu'Hayden lui en veuille autant, pas que ce n'était pas normal, au contraire, mais il aimerait tellement trouver un moen de se faire padonner. Hayden lança son sac contre le mur et s'asseya. Nico savait qu'elle préfèrerait qu'il parte sans demander son reste, mais il n'était pas comme ça. Il ne lâcherait pas prise tant et aussi longtemps qu'Hayden lui en voudrait a mort. Et le mot est faible. Nicolas resta là, il osa même s'asseoir a côté d'elle.

Mais lâche-moi à la fin ! Tu fais vraiment chier !

Il ne pu que s'attirer les foudres d'Hayden. Mais Nicolas ignora la remarque. Il devait lui faire entendre raison.

"Hay' ... Je t'en pris. Tu sais que je ne lâcherai pas prise. Tu me connais mieux que ça."

Jusqu'a maintenant, il n'avait pas lever les yeux, il regardait ses pieds. il finit par les encrés dans les siens, comme auparavant.

"Écoute, je suis sincèrement désoler pour ce que j'aie fait. Je ne voulais pas que ça se termine ainsi. Tu sais bien que je ne voulais pas que tu me déteste. Mais c'est comme ça, et ça me tient a coeur de me faire pardonné. Je ne le fait pour personne, pas même pour Mely. Je le fait pour nous. Après ce qui c'Est passé entre nous deux, c'est stupide que ce soit comme ça aujourd'hui. J'espérais qu'on pourrait être ... amis."

Dans la tête de Nicolas c'est toujours comme ça qu'il avait vu la vie après sa rupture avec Hayden. Il croyait qu'ils finiraient amis, ou en bon terme du moin. Il ne pensait pas qu'Hayden le détesterait autant. Du moin pas tout ce temps. Il se doutait qu'au début, ce serait dur pour les deux.

[HJ: C'est nul désoler ... Je suis un peu rouiller xD]

NICOLAS - Hay' ... Je t'en pris. Tu sais que je ne lâcherai pas prise. Tu me connais mieux que ça.

La jeune femme roula de ses beaux yeux aux reflets irisés, quand allait-il arrêter de jouer à la femmelette. Elle tourna la tête vers lui, son visage exprimait totalement ce qu’elle ressentait : de l’agacement pur et simple. Bien-sur il y avait autre chose avec, quelque chose de plus fort. Il tourna à nouveau le regard vers elle, arrêtant subitement la contemplation de ses baskets, leurs regards s’encrèrent l’un à l’autre. L’un suppliant, l’autre masqué d’indifférence. Il lui répéta une fois encore qu’il était sincèrement désolé de tout ce qu’il avait pu faire, qu’il n’avait jamais voulu que ça se passe ainsi, qu’il tenait vraiment à être pardonné et il voulait qu’ils soient amis. Mais il ne comprenait rien, il prenait le problème à l’envers. Non, il n’avait rien fait de mal en sois, rien qui ne valle la haine émanant d’Hayden. Je hais ta façon de me parler et ce que tu devines en moi. Je hais ta façon de te conduire et de me regarder dans les yeux. Je te hais au point d’en crever et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d’avoir raison ou bien tord. Je te hais quand tu me fais rire, d’avantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où mais je hais surtout de ne pas te haïr, ni un seul instant, ni une seule minute, ni même du tout. Les pensées d’Hayden s’embrouillaient, que devait-elle lui afin qu’il la laisse tranquille une bonne fois pour toutes.

HAYDEN – Nicolas. Je te… pardonne. Ça te va ? Ne t’en fais pas, c’est qu’avec… Edward on traverse une mauvaise passe alors quand on me parle d’amour… Enfin, tu vois ce que je veux dire.

Elle lui fit un sourire, faux certes, mais un sourire tout de même.